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Selon eux, le travail est un monde très compétitif, où l’individualisme domine. Ils ne se sentent pas respectés au travail. Ils ne s’attendaient d’ailleurs pas à ce que le monde du travail soit si difficile.

  • 34% estiment que leurs efforts ne sont vraiment pas reconnus
  • 54% avouent qu’ils ne savaient pas que ça serait si dur

Les constats qui ressortent sont un système de l’enseignement pas assez performant, une société sans objectif, qui inquiète et qui protège de moins en moins, où la finance pèse trop. Une démocratie à l’arrêt, des inégalités sociales omniprésentes et insupportables.

  • Moins de 1/10 pense que l’enseignement prépare bien au travail et au monde en général
  • 1/20 pense que voter permet vraiment de changer les choses
  • 1/2 trouve que les inégalités sociales grandissent et sont insupportables
  • 36% redoutent de ne jamais avoir un bon logement

1/2 pense qu’il faut radicalement changer la société, la majorité pense que c’est possible. Plusieurs réactions se profilent :

  • la modération (pour quasi la moitié d’entre eux) : ils n’ont pas de position tranchée et hésitent entre le rejet ou à l’inverse l’ouverture aux autres,
  • le rejet de la société (plus de trois jeunes adultes sur dix) : ils ont peur et estiment qu’il y a trop de personnes assistées et d’immigrés. Ils ne croient pas en l’avenir.
  • l’ouverture aux autres : plus d’un jeune adulte sur dix estiment que l’immigration est une source d’enrichissement culturel. Ils pensent pouvoir agir pour inventer et construire la vie de leur choix.

En chiffres

se sentent (très) souvent anxieux, angoissés, déprimés 33%
pensent que sans travail on n’existe pas 63%
pensent que les gens ont de moins en moins envie de vivre ensemble 55%
ont déjà tenté de se suicider 12%
pensent que voter permet de changer les choses 5%